voilà ce que "aimer" veut dire:

En ce moment, nous vivons dans un monde de satellites artificiels, de technologies nouvelles, d'internet, de sociétés multinationales, des droits aux libertés, ... et d'affamés, d'analphabètes, de drogués, du crime organisé en institutions, ... ce ne sont plus quelques personnes ici et là, mais, des familles par milliers, des enfants par millions, une caste qui foisonne parmi les peuples du monde en toute légalité des règles du jeu du monde moderne de la mondialisation et du droit à l'absurde à condition de le faire valoir! C'est ça notre monde d'aujourd'hui!
La misère, qui n'est que l'œuvre des hommes, l'éducation, qui est devenue l'affaire exclusive de l'État souverain démocratiquement élu,.... où l'égalité sociale et le droit publique sont devenus marchandises pour capter les passions des électeurs et qui restent sans lendemain après.
Dans un monde où sévit de plus en plus la famine, les sans abris, les chiffonniers qui vivent ou plutôt arrivent à survivre en cherchant dans les décharges publiques, on arrive à voir la lueur d'un espoir quand on rencontre dans les événements de ce monde une personne comme cette dame

http://www.lemonde.fr/carnet/article/2008/10/20/soeur-emmanuelle-mort-d-une-icone-mediatique_1108750_3382.html
ou aussi quand on rencontre ces anges blancs: Les anges blancs des Philippines
À Manille, deux religieux français tentent d'apporter à des gosses misérables un peu de nourriture et de réconfort ainsi qu'un semblant de scolarisation.
http://www.tv5.ca/emissions/les-carnets-du-bourlingueur-100185251/malaria-et-vin-de-palme-100185257.html

Avec ces femmes ces hommes voués à lutter contre l'injustice et la misère humaine, on retrouve l'horizon d'un espoir dans des jours meilleurs à condition de ne pas baisser les bras et ne pas se laisser faire, même si on se sent "écrasé" "condamné"... même si notre espoir reste du domaine du virtuel.